Une arche cuivrée qui s’élance, éclipsée par une stèle s’élevant d’un sol recouvert de sable noir, et le décor minimaliste de Phèdre est dessiné. Le sol, malléable donc, imprime aussi bien qu’il limite le mouvement des personnages. Des frontières esquissées par la bienséance et la raison, seuls Phèdre et Thésée parviennent à se délivrer, mais cette transgression, effet de la rage, ne mène qu’à la mort. (suite…)
© Cosimo Mirco Magliocca, photo de presse du Théâtre de La Ville
© Jean-Louis Fernandez, photo de presse du Théâtre des Bouffes du Nord
© David Jungman, photo de presse du Théâtre de Belleville