Denis O’Hare, en choisissant de mettre en scène L’Iliade – ou plutôt « une Iliade » –, a dans les faits choisi de mettre en scène la multitude par l’unique, le mythe par le corps et l’intemporel par la voix. Et le spectateur ne peut s’empêcher de se demander, avant la représentation, ces simples mais essentielles questions : pourquoi ? et comment ? (suite…)